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Par
L ange noir1 le
9 Avril 2007 à 16:53
Assise en tailleur sur un banc
Le regard dans le blanc,
Le noir lui apporte le vent...
Amène à son oreille le nom de son prétendant.
A cheval sur ce qu'elle tutoie,
Il sera d'ailleurs où il ne sera pas.
Ailleurs il y a d'autres lois...
D'autres fois !
Un peu de lui... un peu d'elle,
Un petit être moins frêle.
C'est une nouvelle
Qui la trouve belle.
Assise en tailleur su un banc...
Elle enfile ses gants.
Vêtue de blanc,
Le noir, pour lui dire adieu, lui présente son prétendant...
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L ange noir1 le
27 Mars 2007 à 10:19
Un voile se dépose
Sur un coeur couvert d'ecchymoses
Se défait peu à peu de ses plis
Pour mettre son protégé à l'abri.
Sa transparence lui révèle le jour
Comme il repousse la nuit
Remerciant le froid
De ne pas venir sous son toit.
Aussi léger qu'une plume
Peu à peu... il se consume.
Il se laisse emporter
Par sa mission de t'aimer.
Ce doux voile,
C'est mon coeur qui se dévoile !
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L ange noir1 le
9 Mars 2007 à 11:53
Rien n'est réel dans ce monde mystérieux
Où la clarté se fait la belle pour se jeter dans le lac bleu.
La nuit vient mordre la lune
Pour donner un répit au vent qui élime les dunes.
Plongés dans un rêve nocturne,
Les oiseaux deviennent taciturnes !
Ici, il n'y a pas d'air,
Le parfum des fleurs s'échoue dans l'atmosphère.
Les montagnes n'offrent pas d'échos
Quant aux rivières, bien sages sont leurs eaux !
La vie se serait-elle figée
En te laissant t'échapper ?
Elle t'aurait donné son dernier souffle avant de le laisser fuir,
Pui se serait laisser endormir ?...
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L ange noir1 le
9 Mars 2007 à 11:30
Nous n'étions pas vraiment mort
Ni tout à fait vivant !
Mais qu'est-ce qui nous animait alors
Si nous étions perdus dans le néant ?
Nous ne sentions plus la force de nos corps
Les périples ne nous demandaient plus d'efforts.
Sans avoir tout à fait raison, nous n'avions pas tout à fait tort
Sans faiblesse nous n'en demeurions pas plus fort !
Nous résidions dans une étrange demeure
Où aucune lumière ne jouait de sa lueur.
Les murs s'imposaient de par leur hauteur,
Ils séquestraient nos leurres !
Retenus entre ici et ailleurs,
Le temps se maquillait d'une inquiétante pâleur,
Se vantant d'avoir été le vainqueur
De notre amour et de ses peurs.
Oui... Nous nous aimions ! Là était notre plus grande frayeur !
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