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L ange noir1 le
27 Janvier 2008 à 11:15
Une lumière s'est éteinte
Dans le ciel Hollywoodien,
Les étoiles ont perdues une de leurs soeurs !
Un souffle de vie, une présence succincte
A rendu à la vie sont dernier bien,
Laissant à la peine de longues heures.
Un départ inopiné, une place vide !
Et que la mélancolie pour nous tenir en vie !
Et que le fiel nous affublant de son oppression !
De nos yeux suinte ce liquide,
Rivière de larmes au goût d'une fin emprunte d'ignominie,
Laissant dans nos faibles existences l'inopportune excavation.
A tous ses talents !
Toutes ces fictions qu'il nous a tendu !
Toute sa personne qu'il partageat !
De ne l'avoir connu que sur grand écran
N'annihile pas l'absence innatendue
D'un être qui, même du tréfond du lointain, toujours nous consumera.
A HEATH LEDGER !
JEUNE ET GRAND ACTEUR !
REPOSE EN PAIX ! ICI BAS NOUS ATTISERONS TON ETERNELLE LUEUR !
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L ange noir1 le
27 Janvier 2007 à 19:36
L'eau qui ruisselle dans mes veinesSe givre à mesure que s'évade ma remise de peine.Ses ruisseaux porteurs,Double commes les jours de malheurs,S'effondrent sous le poids de la glace.Le rouge du sang qu'elle remplaceVient donner signe de mort,Le souffle s'endort... Face à mon exil,Le coeur se défile.Vendu au diable,Mon âme finit sa fable...
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L ange noir1 le
29 Novembre 2006 à 13:18
Un coeur dans la fleur de l'âgeC'est comme l'amour au décollageQui se perd à l'atterrissage,Au fil d'un siècle qui perd de son plumage,Dénudé par un romantisme qui dissimule son visage.On prend l'avion de la jeunesse,Son altitude nous ammène au plus haut de l'îvresse,Sans s'attendre à se qu'il perde de la visiteOu plutôt, en oubliant que le temps, pour nous rattraper, se presse. Alors, c'est la chute libre dans un ciel qui s'assombrit.L'éclair annonce un orage qui retentit.Un film défile devant nos yeux, c'est notre vie.On se revoit tout petit,Ca paraît être encore aujourd'hui.L'horloge de notre coeur nous sourit,Elle nous dit au revoir et merci.
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L ange noir1 le
21 Novembre 2006 à 20:23
Malheureuses, soient les mains qui se tendent,Les intentions qui les commandentEt la soif qui la quémande. Malheureux soient les yeux qui dévisagent,Les idéaux qui voyagentBalader par leurs images. Malheureuses soient les années échouées,La vie qui les a laissé filer,Le ciel qui les a récupérer. Malheureux soient les amours perdus,Leurs sentiments déchusQue le temps a mordu. Malheureuse que je suis,D'avoir ce bonheur qui me luitEt mon âge qui le fuit.
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L ange noir1 le
21 Novembre 2006 à 19:41
Tout est de passage,Rien ne reste dans nos sillages.De ces choses qu'on affectionne à tout âgeA ces gens qui ne partent jamais sans dommage. Entre le tems et nous, il y a un grand décalage.Il s'approprie notre entourageEn nous faisans bien comprendre qu'on est qu'en voyage,Alors que nous, on aime poser nos bagages.Pourtant nous, on ne lui vole pas ses rouagesPour qu'il arrête son tapage. Au-dessus de nous, il y a des nuages,Mais on sait qu'ils ne sont que mauvais présages,Que c'est là qu'on déménageLorsque nos vies partent en dérapages. Au-dessous de nous il y a des marécages,Ce sont des mares de larmes qui ne sont pas passées au séchage.Elles ont coulées à cause des instants volagesQui sont partis même sans accrochage. Heureusement il y a des tiragesQui font états de faits de nos rodagesOù le papier glacier fait office de cageQui enferment nos existences derrière des grillages. Nous les regardons en attendant l'orage,Viendra l'éclair que l'on prendra en plein visage.Il viendra nous dire que la fin arrive avec ses ravages,Qu'il est temps de ne devenir qu'une image.
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