• C'est la guerre !
    Aux armes bataillon !
    C'est ma mère, ma bataille !
    Pour elle je me lève, je reste debout !
    Le poing en l'air
    Je déclare la guerre !
    Je me bats pour la cause
    D'un coeur invisible que l'on sent pourtant battre,
    Celui qui nous injecte sa sève, son sang,
    L'élixir de la vie qui voyage dans nos veines.
    De ses poumons qui expulse notre oxygène
    Celui-là même qui nous fait vivre.... pour ne pas ne lui rendre...
    C'est la guerre !
    Mon argent, c'est le nerf de ma guerre !
    Mon argent ? C'est ma mère !
    Un arbre à terre ? Ce sera un homme à terre !
    Une espèce éradiquée ? C'est un génocide !
    Il en ira du châtiment dû à des criminels de guerre !
    Comme une va-t-en guerre
    Je monte au front 
    Armée de ma colère humanitaire et écologique !
    Je suis la fille de ma mère, je la respecte, je la défend !
    Ma mère ? C'est Mère Nature !
    Pour elle ! Je déclare la guerre !

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  • De chaînes se tiennent autour d'un bataillon de soldats.

    Les armes à bout de bras,

    L'héroïsme les a portés jusque là

    Condamnant l'amour qui souffrira.

     

    Ils sont tenus en otage,

    Enfermés derrière d'invisibles grillages

    Qui les retiendront

    Tant que leurs forces tiendront.

     

    Quel considération tire-t-on d'un uniforme sale

    Qui colle à la peau pendant les jets de balles ?

    Le tissu militaire est un honneur

    Qui change vite d'orthographe pour devenir "horreur".

     

    La dignité se vêtit

    A chaque enfilement de treillis

    Puis elle se perd

    Le plus souvent en essayant d'échapper à l'enfer.

     

    Courage et respect

    Traduisent le nom qu'ils portaient,

    De vaillants soldats,

    Que de sitôt on oubliera...

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  • J'ai entendu des hommes crier,

    Vu des femmes pleurer

    Et le sang couler

    Sans ne pouvoir s'arrêter.

     

    J'ai trouvé des corps transpercés

    Par des lames usées

    D'avoir été trop utilisées

    Sans ne jamais se reposer.

     

    J'ai sentis des âmes trouées

    Et la vie s'en échapper,

    Le souffle coupé

    Par un air empoisonné.

     

    J'ai pu observer des bras se baisser

    Sans la force de lutter,

    Des têtes inclinées

    Laissant la fin arrivée.

     

    J'étais là quand on s'est entretués.

    Epuisée, je me suis écroulé,

    La mort ne m'a pas attrapée

    Mais je n'ai plus personne à aimer.

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  • Je n'ai pas pris la peine

    De chasser la haine et ses acharnements.

    Si j'avais fait des tentatives, elles auraient été vaines.

    Econduits par mes tourments,

    Je ne connais aucune peine.

    J'ignore ce qu'est le déchirement

    Face à des gens allongés sur les plaines

    Baignant dans une mare de sang.

     

    J'ai oté bien plus de vies

    Que je n'en n'ai sauvés.

    Face au mépris,

    Je ne me suis jamais incliné.

    Bien au contraire, je l'ai nourrit

    Pour qu'il puisse progresser.

     

    Mon nom de code est : "GUERRE".

    Je suis de toutes les galères.

    Les hommes m'ont  appris ce que je sais faire,

    Ils m'ont enseignés comment les faire tomber à terre,

    Comment faire en sorte qu'ils ne se relèvent pas.

    Je gagne toujours le combat

    Et pour faire apparaître un GAME OVER

    Sur les écrans de la peur

    Il faudrait tout simplement,

    Ne plus faire appel à moi pour convraicre les gens...

     

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  • Je t'aime artilleur.

    Tu es parti avec mon coeur,

    Moi, je prie depuis toute-à-l'heure

    Pour que tu ne sois pas de ceux qui meurent.

     

    Tu me manques guerrier.

    Le tic-tac du pendulier

    N'a de cesse de me rappeler

    Que tu n'es pas à mes côtés.

     

    Je te voudrais soldats.

    J'aurais aimé que tu sois là.

    Je ne sais pas si tu reviendras,

    Si tu me reprendras dans tes bras

    Pour me dire comme tu m'aimas

    Lorsque tu étais là-vas.

     

    Tu viens de partir

    Et je me poses toutes ces questions

    Qui resteront en devenir

    Jusqu'à ce que tu rentres à la maison.

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