• Des pluies diluviennes
    De la neige fondue.
    Ô ciel ! Que ton eau vienne
    Laver mon corps déchu
    Me défaire des empreintes de sa peau
    De son odeur qui ne m'appartiens pas.
    Ô homme d'ailleurs ! Ton défaut ?
    C'est de ne pas être à moi !
     
    Déraisonnée, je t'ai dérobé.
    Celle à qui tu as donné ton nom...
    Je lui prendrais volontiers.
    Et de m'en vouloir de ne pouvoir qu'écouter mes démons,
    Je m'approche de ce que tu as qui me plonge dans l'enfer...
    Je t'aime et me condamne au fer !
     
    Coeur contre coeur
    Tic-tac, passent les heures...
    Je me criminalise
    Tandis qu'elle, se christallise !

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  • Merci...
    A tous les visiteurs qui viennent ici.
    Je vous remercie
    De ne pas me tenir dans l'oubli.
    Si le blog survie
    C'est grâce à vous ! MERCI !
     

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  • Là-bas sur ton île
    Si je cherche mon exil
    Que je n'y trouve que le tien, d'exil
    C'est parce que là-bas, c'est ton île.
     
    Si je cherche ton essence
    C'est parce que je perds tous mes sens.
    Je viens près de tes eaux
    Pour retrouver ta peau.
    Si mon coeur est quémandeur...
    Qu'est-ce que ma vie sans tes heures ?
    Sans tes lueurs ?
    Je te le demande enchanteur !
     
    Ici sur ta plage
    Les pieds sur ta Terre...
    C'est ici que j'aménage.
    Tu me regardes, sans me comprendre,
    Je suis venue me rendre.
    Un genou à terre...
    Je me vois dans tes yeux verts.

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  • Visage de l'amour, visage du péché
    Je l'aime et je faute...
    Comme une ballade romantique et soudain une fausse note...
    Je t'embrasse, de sitôt vais me confesser.
     
    Porteur de bonheur, enfant du diable
    Tu m'envoles... M'embellies.
    Tu m'enlève... Me cherrie.
    Et de moi ? Pas un débat, ça m'en accable.
     
    Réflecteur de lumière, détenteur de l'ombre...
    Mes sentiments se bousculent, s'encombrent !
    Mon coeur... Tu l'élances !
    Mon corps... Tu l'influences !
     
    Au nom de ce fruit défendu...
    Pardon de ne pas avoir tenu !

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  • Un messager frappe à ma porte
    A travers lui brille un esprit novateur.
    Des gardes de joies l'escortent
    L'affection est son chauffeur.
     
    Ce messager s'en va puis s'en revient.
    Dans ses mains scintille un portrait
    Ses traits... Ce sont les tiens.
    Sur tonn visage l'amour y sourit, du moins l'on dirait.
     
    Comme si tu avais revu le jour
    Comme si tu avais redonné ton premier soupir
    Sous les lumières éteintes d'un crépuscule
    Pour trouver dans cette première nuit celles qui nous on unit.
     
    Aujourd'hui, j'ai vu un troubadour.
    A travers un autre, je l'ai vu sourire...
    Je nous sens revivre
    Nous nous respirons... Notre mort s'évanouïe à son tour.
     
     

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