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Face à la ort
L'eau qui ruisselle dans mes veines
Se givre à mesure que s'évade ma remise de peine.
Ses ruisseaux porteurs,
Double commes les jours de malheurs,
S'effondrent sous le poids de la glace.
Le rouge du sang qu'elle remplace
Vient donner signe de mort,
Le souffle s'endort...
Face à mon exil,
Le coeur se défile.
Vendu au diable,
Mon âme finit sa fable...
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