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L ange noir1 le
21 Février 2007 à 12:17
On devrait toujours écouter les gens
Avant de laisser agir le temps
Qui donnera un coup de poing au destin
Pour qu'il précipite les mauvaises fins.
On a perdu l'habitude de faire cas
Des appels au secours de gens qui baissent les bras...
Attendant inconsciemment les pertes et fracas
Pour commencer à bouger le petit doigt.
Si maintenant il faut apprendre à tomber
Pour comprendre comment mieux se relever...
On ne vous amortie pas pour autant la chute
De la vie, son sort et les mauvais buts...
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L ange noir1 le
13 Février 2007 à 14:57
Lorsqu'on est dans l'ombre,
Les gens qui ne sont pas dans la pénombre
Ne se rendent pas compte qu'on n'est pas qu'un nombre
Dont le seul but est qu'on les encombrent.
On ne veut pas forcément s'additionner...
Surtout être enfin calculé
Pour ne plus être mis de côté
Par des gens qui n'ont pas le pouvoir de nous effacer.
Jetons les fractions à la poubelle,
Ces équations où celui de dessus à une place plus belle.
On ne va pas faire de nos vies une grande querelle
Pour faire devenir l'égalité réelle ?...
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L ange noir1 le
13 Février 2007 à 14:47
Petit bout de rien
Et on n'en pense pas moins.
On retrousse chemin
Pour retourner dans son coin.
Jamais on ne fait machine arrière.
Parce qu'on est trop fièrs,
On fuit les erreurs d'hier...
On n'en n'assume pas un tiers.
Il nous arrive souvent
De faire du mal aux gens.
Au lieu de s'excuser...
De ne pas recommencer,
On préfère les incriminer
Pour, en quelques sortes, se libérer.
Voilà notre belle humanité...
On ne sait que se recroqueviller
Dans nos coquilles, commes des escargots intimidés
Pour ne pas avoir à assumer.
C'est ainsi que nous ne connaîtrons jamais la paix.
C'est ainsi que du "bon" le vainqueur sera toujours le "mauvais".
C'est ainsi que nous grandissons...
C'est ainsi que nous mourons...
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L ange noir1 le
3 Décembre 2006 à 14:28
Les mains mollesAttirées par ton verre d'alcool.Le manque s'y réfugie et s'y noie,Emportant avec lui, ton dernier débat. Derrière toi les hommes s'affolent,Sur les trottoirs les femmes racolent.Les moeurs passent,Les sentiments te dépassent. Un pied dans la misère,L'autre dans la colère.Ta moitié t'a échappéeAvec ton dernier parcous stable. Ce qui te reste de coeur t'accableDe souvenirs dérobésAu goût amerD'uhne déjà vécue chimère. Tu t'assoupis là,Face à une autre coupe que tu videras.Tes pensées se sont éteintes.Tu as trouvé là, la seule feinteA une vie qui éreinte,Ce qu'elle engendre de craintes.
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