• Malheureuse se fait la vie
    De n'être que perfidie.
    Ce matin, je me suis levée...
    N'ai vu que des gens envoûtés.
     
    Malheureux le diable,
    Le belliqueux qui les a ensorcelé.
    Le mensonge m'accable
    De nier que je suis aussi à sa portée.
     
    Oh to, être de si bas !
    Pourquoi avoir fait ce choix ?
    Les flammes nous ensorceleront...
    Mais tu ne seras jamais qu'un rejeton.
     
    Tu n'es que fils du mal...
    Le père du bien viendra mâter la peine originale.
    Il viendra reprendre ses progénitures
    Pour les rendre à leur nature !

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  • La vie est un chemin de rose.
    Attiré par leur odeur...
    Tu te baisses... cueille une de ces fleurs.
    Ses épines s'insurgent en toi
    T'apprennent la douleur.
     
    Un genou à terre... tu te relèves
    Ton sang a taché un de ses pétales...
    Qui entend l'espoir que cela t'enlève
    Un leurre qui met ton courage à mal ?
     
    La vie est un chemin de roses.
    "Une place pour chaque chose,
    Chaque chose à sa place..."
    Mais la tienne est de glace !

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  • Chacun reste dans son coin
    Où chaque jour en moins
    S'est installé dans le silence.
    On devient des bourreaux
    Souriant aux avares de mots
    Qui se laissent aller à  la décadence.
     
    On se cache sans remords
    Puis on se cherche aussitôt.
    Scrutant dans un désert où les mirages prennent la forme de gouttes d'eau
    Ces dernières anionciatrices d'une subtile métaphore.
     
    On va se coucher
    Sans s'être trouver.
    Mais, que faire face à la misère
    Qui ronge le coeur des commentaires ?

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  • Le vent chargé du vacarme
    Reprend ses armes.
    Il se réarme
    Pour faire tomber les armes.
     
    La pluie commence son manège
    En averse ou en neige...
    Elle nous offre un florilège
    De ce qui tuera nos privilèges.
     
    Le soleil, tout feu tout flamme
    A son tour, nous condamne.
    Il se fait plus assassin qu'une lame
    Pour supprimer ce qu'on réclame.
     
    Nos yeux se lèvent au ciel
    Tandis que s'abattent nos ailes.
    La fin fait sa belle
    Lorsque la nature se fait aussi criminelle ! 

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  • Comment le tirer le bien du mal
    Comme on a tiré l'humain de l'animal ?
    Nos animaux de compagnie ont enterré leur égo bestial
    Sans le moindre recours médical !
     
    Nous, hommes et femmes qui avant crée la civilisation.
    Nous, qui trouvons des solutions...
    Elles ne s'appliquent qu'aux autres communions !
    Sans la moindre concession,
    Nous les prenons,
    Nous les jugeons,
    Nous les dressons
    Pour les incliner à nos raisons.
     
    Nous avons appris à la nature à nous servir,
    A nos inférieur à nous assouvir.
    On s'occupe de se qui se passe ailleurs
    Avant de soigner les maux de nos demeures.
     
    Le but de l'humain est d'enseigner
    Ce qu'il ferait tellement mieux d'apprendre !
    Au lieu de perdre son temps, il pourrait le passer à rendre
    Ce que jusque là, il a toujours volé :
    Les droits de la nature,
    Ceux qui aurait pu rester pur
    S'il avait laissé à ses différentes races
    Leur vie respective sans y imposer sa trace !

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